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Tu les as plantés, ils ont donc pris racine.

Ils vont bien, ils produisent donc du fruit.

Tu es près de leur bouche,

mais éloigné de ce qu’ils sont.

Et toi, Eternel, tu me connais,

tu me vois, tu examines mon cœur: il est avec toi.

Réserve-les comme des brebis qu'on doit égorger

et mets-les à part pour le jour du carnage!

Jusqu'à quand le pays sera-t-il endeuillé

et l'herbe de tous les champs sera-t-elle desséchée?

A cause de la méchanceté de ses habitants,

les bêtes et les oiseaux disparaissent.

Ils disent: ‘Il ne verra pas notre fin.’»

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